mercredi 10 juin 2009

J2: Le lac de garde











Le Lac de Garde est apparemment né par des glaciers continuellement mouvant à lépoque aquataire.À l'époque néogène le fato benacense est né, c'est la différence entre la rive de Brescia (à gauche) et la rive de Vérone (à droite). D'un côté des descentes et de l'autre côté des roches pointues avec des abîmes.Avant que le Lac de Garde prennait sa forme qui existe toujours, beaucoup de temps a passé. Il fallait quatre périodes glaciaires avec des glaciers fréquentes pour évider le bassin.Les glaciers ont donné la forme aux collines au sud du bassin de Garde, par leurs tournant et évidant mouvements, qui se sont passés en avant et en arrière.























Le lac de Garde
Une belle combinaison de culture et de nature, couverte du soleil italien. Le Lac de Garde, un lac de montagne magnifique et ensoleillé, est le plus grand du Nord de l'Italie. L'eau est bleue azure et possède une clarté extraordinaire. Les anciens villages au bord du lac sont typiques pour ces environs. Avec leurs ruelles et leurs terrasses charmantes, elles forment un pôle d'attraction pour bien des touristes. L'amitié des habitants et les jolis espaces composent une location idéale pour des vacances superbes. Le climat ensoleillé et doux est la garantie de vos vacances.








J2: Ferme laitière N°2












Toujours avec notre guide de la journée (Alfredo) et un des associés de l'exploitation)









Exploitation familiale 3 frères associés
SAU : 71ha dont les ¾ en propriété et ¼ en location
Assolement : 40 ha de maïs 1ère récolte semés en mars
20 ha de maïs 2ème récolte, semé en mai derrière
8 ha de tomates (1000qx/ha)
1 ha luzerne
2 ha de pommes de terre
Toutes les récoltes sont réalisées par entreprise.
Tout le maïs est destinées aux VL soit en ensilage, ou en grain sec ou humide. (rdt moyen : 150qx/ha)







La Production :
Quota : 1.8 millions de L
Environ 180VL à 9700L.
Lait livré à la laiterie qui fournie 4 grossistes pour principalement la fabrication du fromage.
Px de vente en 2008 : 0.41 cts/L et en Avril 2009 : 0.30 cts/L
Les producteurs se font de plus en plus concurrencer par le lait d’Ukraine ou de Pologne qui arrive chez eux à 19 cts/L

-Alimentation des VL:
20kg d’ensilage de maïs+4 kg de maïs humide+3kg de soja (1.5 de tanné certifié non OGM)+4 kg de foin de luzerne+500g de CMV

-Bâtiments :
Mise aux normes réalisées : Tout béton, salle de traite 2X10 (tps de traite avec lavage : 2H15 avec 2 personnes.)
0 pâturage et tout lisier.

-Travail : 4.30 H du matin et 17 H le soir
Génétique : travail avec des taureaux canadiens







-Le foncier :
Exploitation limitée en extension car à proximité d’une base aérienne.
En location : entre 600€
En achat : environ 90000 € (et là aussi il y a bien le compte de zéros…)

-Réglementation :
Même bilan que l’exploitation laitière précédente, manque de surface pour respecter les 170 kg d’N org., (environ 50 ha d’épandage manquants)

CR : Jeannick Deborde

J2: Ferme laitière N°1

Visite exploitation ferme laitière N°1 :
Nom : AZ.AGR.PEZZINI
Exploitation familiale père fils, (mère et fille aide temporairement)
SAU : 30ha dont 5 ha en vignes (blanc et rouge vendu directement à la coop.(( FR), et 25 ha en rotation BT récolté en immature => puis maïs ensilage. (ferti moyenne en maïs : lisier + 300kg d’urée)

La Production :
Quota : 1 millions de L
Environ 120VL à environ 10000kg.
Lait vendu à la laiterie pour fabrication d’un fromage d’appellation d’origine contrôlé (« Le grana padano » (vieilli jusqu’à 30 mois)
Px de vente en GMS : 5.30 €
Paiement 180 j. après livraison du lait.






-Alimentation des VL:
22kg d’ensilage de maïs+2.5 kg de farine de maïs+2.5kg de soja+8kg de BT ensilé+1.5kg de paille+4.5 kg d’ensilage d’épis de maïs+1.5 kg de foin (qui est tout acheté)
(ci contre: notre interprète et le chef de l'exploitation.)
-Bâtiment :
Mise aux normes réalisées : Tout béton, salle de traite 2X5 (tps de traite avec lavage : 2H.)
0 pâturage, système « Bassin Tampon de Sédimentation » et fosse lisier.

-Travail beaucoup la génétique, à essayer les transplantations embryonnaires et n’a pas eut les résultats escomptés.
En revanche, c’est lui qui réalise les inséminations sur l’ensemble de son cheptel.
Pas ou peu d’achat à l’extérieur, fort renouvellement. Principale cause de réforme les problèmes de pattes.
-Le foncier :
En location : entre 700 et 1200€
En achat : entre 120 et 150000 € (et il y a bien autant de zéros…)

-Réglementation :
Il n’y a pas d’export sur l’exploitation malgré une SAU relativement faible et un cheptel relativement conséquent.
Par rapport à la directive nitrate, l’ensemble des éleveurs ont toujours une sorte dérogation qui ne les oblige pour le moment pas à respecter le plan d’épandage (170kg d’Norg max/SPE) ni de plan de fertilisation…

J2 Italie du nord dans la plaine du Pô


visites de 3 exploitations, un CR de réalisé, on verra demain, si la connexion ns permet de télécharger photos et vidéos...
(CR laurent et Jean Noel:)
Mercredi 10 juin 2009
Visite d’1 exploitation de bovins viande chez :

Azienda RONCA à MARMIROLO dans la plaine du Pô (photo: notre interprère du jour "Alfredo" et un des associés.)
Société privée familiale crée en 1964

A ce jour elle est constitué de 8 associés (+3 ouvriers) exploitant 800 Ha cultivés majoritairement en mais. Le rendement atteint 20 T. de matière sèche / Ha

Les terres sont très fertiles, irriguées avec un système d’irrigation par immersion gérée par une société privée. Le coût de l’irrigation s’élève à 120 €/ha/an

400 mâles et 300 femelles sont abattus par semaine, soit environ 36000 têtes/ an.

L’approvisionnement des broutards charolais ou limousin (males & femelles) provient essentiellement de France (80%) et d’Irlande (20%).

Les tarifs d’achat sont de 2.45 €/kg vif en charolais (idem pour l’origine irlandaise) et 2.85 €/kg vif en limousin.
Les taurillons sont abattus après 7 mois mini d’engraissement avec une alimentation non OGM riche des produits suivants :
2 kgs de protéine
8 kgs mais ensilage
6 kgs pulpe de betteraves fraîches
3.5 kgs mais grain humide
0.8 kg paille
pour un coût global de 1.35 €/jour/animal
Les bovins sont envoyés dans un abattoir coopératif dans lequel M. RONCA possède des parts pour un poids carcasse de 380 kg en moyenne, payé actuellement suivant leur classement un prix moyen de 3.85 €/kg.

La société réalise un Chiffre d’affaires de 50 M€ annuel avec une marge de 100 € / tête, ce qui représente un résultat entre 3 & 4 M€, soit environ 7% du C.A., un résultat supérieur à la moyenne de nos entreprises françaises

La majorité du résultat est réinvestit dans la société par exemple pour l’acquisition de nouvelles terres (en 2008 : achat de 100 Ha à 65 000 € / Ha)

J2: L'exploitation d'engraissement en photos